Ayant été confrontée très jeune à la maladie dans mon entourage proche, j’ai été sensibilisée depuis l’enfance à poser un regard empathique et attentionné envers les autres, et à considérer l’être dans sa globalité, au-delà de la seule dimension physique.
Devenue adulte, j’ai commencé une carrière dans l’administration territoriale, que j’ai poursuivie une dizaine d’années. Mais, il me manquait une dimension sensible, que j’ai abordée dans un premier temps au niveau personnel.
J’ai d’abord pratiqué la méditation zen plusieurs années, puis j’ai découvert le Qi Gong. J’ai tout de suite ressenti les bienfaits d’une bonne circulation de l’énergie induite par ces mouvements doux effectués avec lenteur : un corps détendu et un mental apaisé. Progressivement, grâce à cette pratique, qui est une branche de l’énergétique chinoise, j’ai appris à me mettre à l’écoute de mon corps, de mon rythme et de mes ressentis.
J’ai aussi cherché à explorer davantage l’énergétique chinoise par des lectures et en recevant des séances. Ce domaine est très vite devenu pour moi une évidence, de par sa vision globale de l’être humain et sa conception de la relation corps/esprit.
Au fil des années, j’ai finalement décidé de suivre cette voie sur le plan professionnel. Après avoir validé mon cursus en massage traditionnel chinois à l’IFTEM (école agréée par la Fédération Nationale de Médecine Traditionnelle Chinoise), j’ai complété ma formation en énergétique chinoise et en Tuina auprès de l’école du Professeur Eric MARIÉ, qui a été formé dans des universités chinoises, ainsi qu’auprès de maîtres traditionnels, avant d’enseigner lui-même en Chine puis en France.
J’ai également suivi un cursus en herboristerie, et des formations sur plusieurs instruments de sonothérapie, dont le diapason. J’intègre ces connaissances dans mes massages en utilisant des huiles et le diapason.
Aujourd’hui, c’est avec bonheur que je pratique les massages traditionnels chinois, en ayant le sentiment de faire ce que je suis.
